Le « Mouchoirgate », où Emmanuel Macron, président français et roi du regard pénétrant, a transformé un mouchoir en crise diplomatique. Oui, un mouchoir, un train et trois leaders !
Tout commence le 9 mai 2025, dans un train de nuit filant vers Kiev. Macron, accompagné du chancelier allemand Friedrich Merz et du Britannique Keir Starmer, discute soutien à l’Ukraine et cessez-le-feu… Mais voilà, une caméra indiscrète zoome sur un drame : un objet blanc sur la table. Un mouchoir, direz-vous ? Que nenni ! Sur X, c’est un sachet de cocaïne, et Macron, en le rangeant, devient Pablo Escobar en costume de luxe et comme bonus : une « cuillère » près de Merz fait grimper l’imagination collective jusqu’à des visions de « Narcos ».
Sur les réseaux sociaux, le cirque des pixels ! Une photo floue ? Une preuve irréfutable. Un zoom qui rendrait un microscope jaloux ? La clé du complot. Les détectives de X s’en donnent à cœur joie : « Macron cache la drogue ! » clament des comptes pro-russes, pendant que des politiciens français en quête de buzz saluent l’extrême droite et crient à la décadence. Un twittos a même juré avoir vu une « rave diplomatique » dans une vidéo où les trois leaders ont l’air de bosser sur des dossiers.
L’Élysée, avec la délicatesse d’un prof qui corrige une copie pleine de fautes, a clarifié : « C’est un mouchoir, les amis. Un Kleenex. Pas de panique. » Des photos en haute définition confirment : c’est bien un bout de papier froissé, probablement traumatisé par un éternuement présidentiel. La « cuillère » ? Une touillette à café, ou peut-être un cure-dent, mais rien qui ne mérite un épisode de CSI (Crime Scène Investigation). Les médias (Le Monde, Libération, et leurs copains) ont enfoncé le clou : pas de coke, pas de scandale, juste une overdose de stupidité numérique. Mais avouez, un mouchoir, c’est moins vendeur qu’un cartel ferroviaire.
Un mouchoir ? Trop simple. Un sachet de poudre ? Voilà qui fait cliquer ! Les politiciens sont débordés, hurler au scandale, ou offrir à Macron une boîte de mouchoirs avec étiquette « Non toxique » pour éviter une guerre mondiale déclenchée par un rhume mal compris peut-être. Riad
