Les USA sous l’emprise de l’entité israélienne !

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Le professeur américain John Mearsheimer, éminent théoricien des relations internationales, a relancé un débat explosif en affirmant que le lobby pro-israélien AIPAC exerce une influence décisive sur la politique étrangère des États-Unis, assurant une soumission quasi totale à l’entité israélienne. Dans son ouvrage « The Israel Lobby and U.S. Foreign Policy », Mearsheimer soutient que cette organisation, soutenue par des donateurs influents et des réseaux politiques, dicte aux présidents et aux membres du Congrès les lignes rouges en matière de politique moyen-orientale, notamment dans le conflit actuel avec l’Iran. Cette mainmise, selon lui, se manifeste par une pression financière et politique qui limite toute divergence, transformant Washington en un exécutant des priorités israéliennes.

Cette thèse trouve un écho dans l’histoire récente. Seuls quelques présidents ont osé défier cette influence, comme Barack Obama en 2015, qui a réussi de justesse à faire adopter l’accord nucléaire avec l’Iran, malgré l’opposition farouche d’AIPAC et du Premier ministre de l’entité israélienne de l’époque, Benjamin Netanyahu. Cependant, cet accord a été rapidement torpillé par Donald Trump en 2018, une décision que Mearsheimer qualifie de capitulation totale aux exigences israéliennes, alimentant les critiques sur la dépendance américaine. Dans le contexte actuel, marqué par l’escalade entre Israël et l’Iran depuis les frappes du 13 juin 2025 dans l’opération « Ascendant Lion » et la riposte iranienne « Promesse Sincère 3 », cette soumission est scrutée de près, avec Trump, de retour sur la scène politique, défendant à nouveau Netanyahu.

L’analyse de Mearsheimer s’appuie sur des données troublantes : AIPAC, avec un budget annuel dépassant 100 millions de dollars, finance massivement les campagnes électorales, influençant jusqu’à 80 % des membres du Congrès, selon des estimations du « Center for Responsive Politics ». À cela s’ajoutent des allégations plus sombres : des rumeurs persistantes, relayées sur X, suggèrent que des responsables américains pourraient être compromis par des vidéos compromettantes orchestrées par le Mossad, une tactique de chantage évoquée dans des enquêtes journalistiques comme celle de « The Grayzone ».

Ces accusations, alimentent le récit d’une corruption systémique, où l’argent des milliardaires sionistes – estimés à plusieurs dizaines de millions de dollars en dons – achète le silence ou l’alignement. Cette soumission   interroge la souveraineté américaine et son rôle dans un Moyen-Orient en feu, laissant planer l’ombre d’une dépendance qui pourrait redessiner les équilibres globaux. Riad

 

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